Le numérique permet, du moins c’est son argument étendard, la mise en commun, le partage. L’affaire semble dès lors entendue, le numérique, en tout cas certaines pratiques dans le domaine, seraient l’antidote au mouvement d’enclosures (cloisonnement) des espaces communs commencé au XVIIème siècle.
Il faudrait certes être plus précis, mais peut-être pas tout de suite. Si « tout ça » est un amas confus alors partons de la confusion. Ce n’est pas un choix par défaut, la confusion est un bon point de départ car elle est réelle, plus que la plupart des différenciations beaucoup trop claires et artificielles qui sont proposées.