Dans le cadre d’une recherche-action participative en cours, nous avons recueilli une trentaine d’histoires au cœur de CPAS bruxellois. Des récits d’ayants droit dans un premier temps, mais également d’assistants sociaux et de professionnels du social. Ces histoires sont courtes, personnelles, incarnées. Elles allient voix et dessins dans des capsules vidéo : les digital stories. Systématiquement, ces digital stories révèlent sous différentes déclinaisons et perspectives comment les bénéficiaires vivent leur dépendance vis-à-vis d’un CPAS. Les récits des assistants sociaux mettent en lumière les enjeux situés de l’autre côté de cette relation de pouvoir.
Avant les élections du 9 juin 2024, la N-VA a proposé de bloquer l’indexation du revenu d’intégration, suite à son augmentation de 12 % par rapport à l’indexation au cours de la législature précédente. En outre, le parti plaide en faveur d’une norme d’indemnisation légale. Le revenu d’intégration, dernier filet de sécurité de notre protection sociale, ne doit pas augmenter plus que le salaire minimum. L’argument sous-jacent s’inscrit parfaitement dans le cadre de l’État social actif : La différence entre le revenu de remplacement et le salaire minimum ne doit pas être trop faible, sous peine de décourager toute volonté de travailler.
En tant que travailleur·euse·s du social, nous sommes amené·e·s à percevoir dans les démarches participatives un certain nombre de tensions. Au-delà de ce constat, dans quelle mesure leur re-levé peut-il déboucher sur une analyse propice à les dépasser ?
Les professionnel·le·s et miltant·e·s du milieu associatif sont de plus en plus amené·e·s à inscrire la participation au cœur de leurs pratiques. Dans cette perspective, le CFS asbl et le Réseau Nomade ont décidé de collaborer dans l’organisation de rencontres destinées à échanger sur la manière dont il·elle·s s’en emparent. Cette analyse présente un des questionnements nourri lors de cette réflexion autour de l’approche participative dans le travail social.
Les professionnel·le·s et miltant·e·s du milieu associatif sont de plus en plus amené·e·s à inscrire la participation au cœur de leurs pratiques. Dans cette perspective, le CFS asbl et le Réseau Nomade ont décidé de collaborer dans l’organisation de rencontres destinées à échanger sur la manière dont il·elle·s s’en emparent. Cette analyse reprend un questionnement issu de cette réflexion autour de l’approche participative dans le travail social.
Les professionnel·le·s et miltant·e·s du milieu associatif sont de plus en plus amené·e·s à inscrire la participation au cœur de leurs pratiques. Dans cette perspective, le CFS asbl et le Réseau Nomade ont décidé de collaborer dans l’organisation de rencontres destinées à échanger sur la manière dont il·elle·s s’en emparent. Cette analyse expose des ob-servations formulées lors de cette ré-flexion autour de l’approche participa-tive dans le travail social.
Les professionnel·le·s et miltant·e·s du milieu associatif sont de plus en plus amené·e·s à inscrire la participation au cœur de leurs pratiques. Dans cette perspective, le CFS asbl et le Réseau Nomade ont décidé de collaborer dans l’organisation de rencontres destinées à échanger sur la manière dont il·elle·s s’en emparent. Cette analyse présente et prolonge un questionnement issu de cette réflexion autour de l’approche participative dans le travail social.
Est-il encore nécessaire de rappeler qu’être et survivre en étant une personne en situation ‘irrégulière’ (PESI) en Belgique s’accompagne de limitations et d’aléas qui ne disent plus leur nom ?
Ce cahier de recommandations a été réalisé par des membres, porte-paroles, coordinateurs ou responsables de Collectifs et d’Occupations de sans-papiers : la Coordination des sans-papiers de Belgique, La Voix des sans-papiers VSP Bruxelles, Ixelles, Family, Molenbeek, Defacqz, VSP L’hos-pitalière, VSP Saint-Josse (ex Collectif Ebola), VSP Verviers, VSP Liège, le Comité des femmes sans-papiers (incluant la Ligue des travailleuses domestiques de la CSC), le Collectif des réfugiés afghans, le Collectif latino pour la régularisation, le Collectif des sans-papiers bénévoles intégrés de Bruxelles, le Comité des travailleurs migrants avec et sans-papiers de la CSC de Bruxelles, l’Union des sans-papiers pour la régularisation (USPR)
Evaluer est une manie de notre temps. Tout évaluer, toujours plutôt deux fois qu’une et si possible, l’idéal serait de le faire en permanence. Regarder les résultats, mettre en mots, prendre conscience, avant même de faire quelque chose, en prévision, puis pendant et aussi après. C’est un peu encombrant mais au moins on est à l’écoute, on sait, on ne se raconte pas d’histoires, on met les résultats au centre, du concret ! Quoique…