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Analyses et études 2015

Analyses et études 2015

Nouveaux paradigmes ?

Chaque changement dans notre vie privée ou notre travail, au niveau politique, artistique, ou même sportif semble désormais relever d’un changement « de paradigme » ; toutes les réformes découlent, paraît-il, de la nécessité de remplacer un paradigme précédent inefficace, ou de l’heureuse émergence d’un nouveau paradigme. Qu’est-ce que ce concept de paradigme au-delà de l’usage abusif qu’on en fait ?

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Le précariat à Bruxelles : retrouver une puissance d’agir
Etude publiée dans les Cahiers du Fil rouge n°16-17

Cette nouvelle étude de CFS et plusieurs autres analyses plus courtes, sont nées d’une rencontre et d’un mandat. Tout d’abord, la conférence et la rencontre personnelle avec Robert Castel, dans le cadre de l’Université populaire de Bruxelles, le 17 février 2011...

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Qu’avons-nous appris en utilisant le concept de précariat ?

Le concept de précariat est très riche car il nous a permis de traverser un très grand nombre de réalités, de voir énormément de choses. Il serait intéressant maintenant de faire, en quelque sorte, le chemin inverse. De regarder les conclusions à tirer de ce regard. Cette démarche ne refermera en aucune manière la problématique ouverte par ce concept, au contraire, elle avancera en sa compagnie. En quelque sorte, nous en venons à nous poser la question toute simple : Qu’avons-nous appris en cheminant avec le concept de précarité ?

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Précarité et lien social : quel rapport ?

Une question revient régulièrement autour des problématiques du précariat:celle du lien social. En même temps, le rapport entre les deux est toujours assez flou. La rupture du lien social est-elle une conséquence de la précarité ? Au contraire est-elle une cause de la précarité ? Est-ce que le travail sur le lien social à des effets sur la précarité ? Ou alors,le lien social n’est-il qu’un luxe réservé aux non-précaires ?

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Retour critique sur l’État social actif
avec la participation de Sophie Goldmann

Dans la foulée de la critique de « l’État-providence », l’idée d’un « État social actif » apparaît en Belgique autour des années 2000. Cette nouvelle conception du rôle de l’État, portée notamment par Frank Vandenbroucke, est devenue déterminante. C’est elle qui guide aujourd’hui le travail social, la gestion de pans entiers de notre société, y compris donc le traitement de la précarité, et l’action des associations. D’où l’utilité de revenir sur ce concept pour mieux comprendre un certain nombre de contradictions dans lesquelles l’associatif (sur)nage aujourd’hui.

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L’Université populaire expérimentale de Paris 8 : un enjeu d’éducation populaire

Pendant très longtemps et jusqu’à la fin du XIXème siècle et la moitié du XXème siècle, l’entrée à l’université demeure socialement élitiste. Même si les effectifs d’entrée ont augmenté, leur assise sociale reste très bourgeoise. Les publics fréquentant l’université appartiennent aux classes sociales favorisées, l’autre partie de la population, le peuple, n’y accède pas. Malgré la tentative de démocratisation de l’enseignement supérieur, les inégalités sociales d’accès restent encore fortes...

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L’éducation populaire politique

En décembre 2011, Alexia Morvan présentait au sein de l’Université de Paris VIII – Vincennes – Saint-Denis sa thèse de doctorat intitulée « Pour une éducation populaire politique. A partir d’une recherche-action en Bretagne ». Le propos n’est pas ici d’en donner un résumé, encore moins de la juger. Il s’agit plutôt de relayer à traves l’approche historique qu’elle fait de l’éducation populaire un certains nombre de préoccupations et de questionnements bien présents.

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Sur la sécurité sociale (1945 à nos jours) : l’Etat comme acteur central du social.

Actuellement lorsqu’on parle de la Sécurité sociale, lorsqu’on parle « sérieusement » de la Sécurité sociale, on débat de son financement. Cette question est importante bien sûr, nous y reviendrons, mais dans un même temps, ne faut-il pas sortir du discours hystérique : « il n’y a pas d’argent, la Sécurité sociale nous coûte trop cher ». Imaginons quelqu’un qui, confronté à des difficultés économiques, agisse sans prendre le temps de réfléchir et vende son outil de travail. Voilà peut-être l’image adéquate. On peut le dire parce que la Sécurité sociale est bien un outil de travail, un des rares outils institutionnels qui maintient une société. La sécu n’est pas à vendre.

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