Ce texte part d’une interpellation suscitée par un sketch de Frank Lepage : souvent l’esprit de sérieux, les conventions, la langue de bois prennent le pas dans les rencontres, alors on parle et on ne dit rien. Cette analyse tente de pointer quelques éléments proposés dans ce sketch et deux autres expériences semblables, et cherche à évoquer une piste, à partir de laquelle la discussion devient possible ?