Cela semble une bonne idée : éduquer à un monde sans monstres, sans monstrueux ni monstruosité. Les monstres relèvent des préjugés, de l’imaginaire, de la superstition, et entraînent vers la violence. Dans une société égalitaire, « éclairée », ouverte et tolérante il ne devrait plus y avoir des monstres. Enfin, c’est ce qu’on dit à leur propos...
Découvrez cette analyse dès maintenant en version papier dans le numéro 5-2017 de la Revue nouvelle : "Monstres"
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