Atelier de réflexion

Vous êtes professionnel·le et/ou militant·e dans une association ? Vous vous impliquez auprès de publics qui s’interrogent à propos des élections et vous souhaiteriez contribuer à nourrir leurs questionnements au sujet du vote ?
Le CFS asbl vous propose un atelier de réflexion afin de renforcer leur prise sur cet éternel objet de débats.
Intéressé·e ? Contactez-nous pour envisager ensemble une collaboration !

Impossible de ne pas s’en rappeler, en Belgique l’année 2024 s’annonce électorale à tous les échelons de représentation des citoyen·ne·s : régional, fédéral et européen le 9 juin puis communal (et provincial) le 13 octobre. Or pour bon nombre de personnes le vote suscite autant de questions que ses implications peuvent paraître floues : une organisation de l’État complexifiée par le fédéralisme, un positionnement des partis atténué par les coalitions ou tout simplement leur récent accès au suffrage en sont quelques-uns des facteurs. Observer le fonctionnement de la démocratie belge au départ de son histoire est alors susceptible d’aiguiser un regard critique propice à leur permettre de considérer leurs propres potentialités politiques.

Objectifs et contenus

L’ atelier de réflexion se donne pour but de fournir aux participant·e·s des repères historiques appuyant la co-construction de clés d’analyse sur le vote en vue de les amener à mieux se situer face aux enjeux actuels des élections en Belgique.

Ils s’articuleront plus précisément autour de l’examen de trois thématiques centrales à partir des luttes que celles-ci ont impliquées au fil du temps :
 l’élargissement du droit de vote à différentes catégories de population ;
 l’émergence de clivages menant à une pluralité de formations politiques ;
 l’évolution institutionnelle de l’État et la multiplication d’entités autonomes.

Méthodologie

Dans une approche interactive portée par l’expérience et les savoirs des participant·e·s, les ateliers exploreront une série de jalons chronologiques de l’histoire de la Belgique pour réfléchir ensemble aux rapports de force continuant à déterminer l’orientation de la vie politique du pays.