Un homme de la ville de Tlon disait… los espejos y la cópula son abominables, porque multiplican el número de los hombres. C’est du moins ce que raconte Borges dans une de ses nouvelles. Le témoignage existait, peut-être, dans un seul des exemplaires du volume d’une traduction espagnole de l’encyclopédie britannique que Bioy Casares détenait dans les années 1940. Cet exemplaire unique comportait quatre pages supplémentaires à propos du monde de Tlon.