La maitrise de la langue est un thème récurrent dans les textes de loi relatifs aux migrants et à leur intégration. Cependant, la langue est-elle vraiment un indicateur d’intégration ? Le niveau de maitrise exigé est-il adéquat ? Doit-il être le même pour une demande d’obtention de la nationalité que pour une résidence ponctuelle ou permanente dans le pays d’accueil ? Existe-t-il d’autres moyens de s’intégrer ?