Initialement, l’objet de mon analyse devait porter sur la question du lien entre pouvoir et écriture. Pour faire vite, mon hypothèse était que l’écriture était un instrument du pouvoir... mais également de pouvoir, et qu’ainsi il s’agissait de maîtriser au mieux cet instrument afin de lutter contre le pouvoir des dominants à armes égales. C’est ainsi que j’en venais à questionner certaines pratiques de l’alphabétisation, notamment les ateliers d’écriture.